Comment traiter un lichen scléreux vulvaire ?

La maladie connue sous le nom de lichen scléreux (LS) vulvaire est fréquente chez les femmes. C’est une dermatose qui touche les organes génitaux d’une jeune fille prépubère et d’une femme ménopausée. Elle est caractérisée par une inflammation dans la région péri-anale. Et elle se présente comme une plaque blanche découpée plus ou moins indentée. Cet épaississement ou durcissement se produit à la surface de la peau.

Le seul intérêt du traitement de cette maladie chronique est d’en atténuer les symptômes.

Quels sont les facteurs à l’origine du lichen scléreux ?

Les causes précises du lichen scléreux vulvaire sont encore inconnues à ce jour.

On a appris tout récemment qu’il s’agit d’une pathologie dermatologique fréquente qui touche les femmes. Il n’est pas originaire de Micronésie. Et il n’est plus causé par un manque d’hygiène. En raison de ces faits, le lichen vulvaire n’est pas une maladie contagieuse. Il ne peut donc pas être transmis par les relations sexuelles. De plus, il est rare de trouver plus d’un membre ayant cette affinité dans une même famille.

Quels sont les signes et les symptômes ?

Dame mal à l’aise, se tenant l’entrejambe avec les mains. au lit avec des malaises au niveau de la vessie à la maison les demandes et les douleurs sont les signes distinctifs du lichen scléreux. Chez les malades, on observe une dépigmentation du clitoris près de l’anus, laissant cette zone blanche. On peut également observer un amincissement cutané qui rend la vulve plus sensible. Ces symptômes s’accompagnent de picotements (démangeaison) et de dyspareunie (douleur avant, pendant et après les rapports sexuels). Lorsque le LS n’est pas traité, la vulve peut continuer à fonctionner physiologiquement. Il faut noter que certaines femmes et jeunes filles ne présentent aucun symptôme.

Comment diagnostiquer un lichen sclérosant ?

La patiente doit consulter un gynécologue pour obtenir un diagnostic de lichen sclérosant.

Pour le LS typique, qui consiste en une dépigmentation, une amplification de la peau et une repousse, un examen visuel des règles suffira. Alors qu’une biopsie de la peau est conseillée pour les anomalies du LS. Chez les jeunes filles, la biopsie est rarement recommandée. Cependant, elle peut être nécessaire si le LS est inhabituel ou si le traitement ne fonctionne pas.

Quel est le traitement recommandé pour le lichen sclérosant vulvaire ?

Savoir que le LS se contrôle lui-même plutôt que de se guérir est une bonne chose.

Par conséquent, l’objectif du traitement est de réduire les symptômes et de prévenir les récidives. À l’âge adulte, les symptômes du LS diminuent, mais la ménopause peut les faire réapparaître. De fortes doses de cortisone sont utilisées comme traitement de la crise de LS. Elle est appliquée une fois par nuit. Et après 4 à 6 semaines, le nombre d’applications peut baisser à 2 ou 3 fois par semaine en fonction de leur évolution. Pour bien faire pénétrer la crème, il faut masser doucement la vulve.

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Le lichen scléreux vulvaire est-il cancérigène ou non ?

Sachez qu’il est crucial de traiter le lichen scléreux vulvaire le plus tôt possible. En effet, la corticothérapie doit être entamée dès l’apparition des premiers symptômes. Sinon, des conséquences graves dont la disparition complète de la vulve ou l’apparition d’une tumeur maligne pourraient survenir. Cette dernière est causée par une irritation cutanée chronique (à long terme). Ainsi, cette infection cutanée non traitée peut endommager la peau.

Et cette tragédie peut rendre le cancer plus probable.

Est-il vrai que la phytothérapie traite le lichen sclérosant vulvaire ?

Grâce à l’utilisation d’huiles essentielles, d’argiles, d’infusions, de décoctions et de massages, la phytothérapie traite les maladies. Mais malheureusement, le lichen sclérosant vulvaire n’a pas guéri en même temps qu’elle. De plus, les gynécologues interdisent formellement d’utiliser cette méthode pour le soigner. Le LS est en réalité une maladie dermatologique. Pour éviter les récidives, voire les problèmes, il faut le diagnostiquer, le traiter à la cortisone et lui accorder un suivi médical à long terme.